jeudi 22 mars 2012
Izia : la chanteuse et son public
c'était vendredi 16 mars au Bataclan. Une générosité à tout-va, une pêche de dingue, une voix à tout casser ! À Suivre ... Cette fille est la folie furieuse du don de soi à l'autre.
mardi 3 janvier 2012
vendredi 25 novembre 2011
mode : 100 ans de mode en 100 secondes
En parallèle de la mode qui court donc de 1911 à 2011, on y voit la danse (à deux) et ses différentes chorégraphies et l'Est de Londres et ses lieux emblématiques.
Sympa, non ?!
lundi 13 juin 2011
dimanche 22 mai 2011
lundi 9 mai 2011
jeudi 5 mai 2011
une chanson avec mon prénom de Stupeflip

Parole de Gaëlle:
J'adore ton look 80 et tes yeux qui jettent des lasers
J'aime ton style américain, je ferais tout pour te plaire
Les mecs t'en ont fait baver, t'as pas toujours été heureuse
J'aimerai te faire oublier, j'aimerai te rendre amoureuse
Oh Gaelle ! Je t'en prie viens me chercher
Tout est si superficiel, j'ai envie d'tout laisser tomber
Oh Gaelle ! Je t'en supplie viens m'consoler
J'ai la tête dans la poubelle, des tâches de gras sur mon CV.
J'sais bien qu'tes pas un canon et moi j'sais bien qu'j'suis pas Brad Pitt
T'as bientôt 47 ans mais toi au moins tu m'excites.
Quand je suis seul avec toi, j'adore ta feuille que tu t'es coute
Toi au moins tu me comprends alors que les autres s'en foutent.
Oh Gaelle ! Je t'en prie viens me chercher
Tout est si superficiel, j'ai envie d'tout laisser tomber
Oh Gaelle ! Je t'en supplie viens m'consoler
J'ai la tête dans la poubelle, des tâches de gras sur mon CV
J'ai trainé sur Internet, ca ma bousillé la cafetière
Ma vie est triste et morose, je suis souvent solitaire
je suis doué, attentif, avec toi je ferais des efforts
Je ne suis plus depressif quand je suis tout contre ton corps.
Oh Gaelle ! Je t'en prie viens me chercher
Tout est si superficiel, j'ai envie d'tout laisser tomber
Oh Gaelle ! Je t'en supplie viens m'consoler
J'ai la tête dans la poubelle, des tâches de gras sur mon CV....
j'adore !! complétement fan !
mardi 26 avril 2011
Richard Prince à la BNF

Entre photographies et peintures, il raconte tout à la fois l’Amérique des grands espaces, moderne, provocante ou pudibonde.

Vidéos de l'exposition Richard Prince. American Prayer
durées : 7 min, 1 min et 15 min
Richard Prince American Prayer
Interviews de Richard Prince et de Bob Rubin, commissaire de l'exposition
du 29 mars 2011 au 26 juin 2011 François-Mitterrand / Grande Galerie
mardi - samedi de 10h à 19h
dimanche de 13h à 19h
sauf lundi et jours fériés
tarif plein : 7 €
tarif réduit : 5 €
Après Jan Fabre au Louvre et Jeff Koons à Versailles, la Bibliothèque nationale de France joue à son tour la carte contemporaine en accueillant dans ses murs Richard Prince. Artiste américain de réputation internationale, particulièrement célèbre pour ses photographies de cow-boys des campagnes publicitaires Marlboro ou pour sa série de toiles de « nurses », il est l’artiste qui raconte le mieux l’Amérique fin de siècle.
La Bibliothèque nationale de France accueille sa première exposition monographique à Paris et pour cet événement l’invite à s’approprier les collections historiques de la Bibliothèque, en champion de l’ « appropriation art » qu’il est.
L’exposition Richard Prince. American Prayer (en référence à la poésie de Jim Morrison) montrera un aspect inédit de l’artiste : un fervent bibliophile et collectionneur de la culture pop et des contre-cultures américaines des années 1950 à 1980, qui sont autant d’inspiration pour son oeuvre de photographe et de peintre. Sur fond de musique de Jimi Hendrix, de Jim Morrison, de Bob Dylan et du Velvet Underground, et avec la complicité du scénographe David Adjaye, Richard Prince nous fait voyager dans une Amérique qui se joue de ses mythes dans une succession de mises en scène beat, hippie et punk.
En dialogue avec une sélection de livres rares, de manuscrits de Rimbaud, Céline, Cocteau et Genet, de magazines underground européens, de livres populaires puisés dans les collections de la BnF, sur lesquels Richard Prince projette d’intervenir, l’artiste dévoile pour la première fois quelques-uns des trésors de sa bibliothèque personnelle : des documents des principales figures de la « beat generation », comme un exemplaire annoté par William Burroughs du Festin Nu ou le rouleau manuscrit de Big sur de Jack Kerouac, sa collection de « pulp fiction » autour du personnage érotique et troublant de l’infirmière, ou sa collection des éditions de Lolita de Nabokov en une vingtaine de langues. Tableaux, dessins, photographies, livres d’artistes, manuscrits et objets illustrent son univers personnel entre culture savante et culture populaire, entre Amérique et Europe, selon une démarche artistique originale. L’exposition se conclut par une salle de lecture tapissée de faux livres conçus par Richard Prince et de trésors bibliophiliques rarement montrés, sa bibliothèque idéale ?
source bnf
mercredi 20 avril 2011
mardi 22 mars 2011
l'élysée montmartre est parti en fumée ce matin



cette salle créée en 1807 et classée monument historique depuis 1998, "L'Elysée", comme l'appellent ses fans, a également accueilli des concerts de heavy-métal, de rap et de reggae. Depuis 1995, la salle accueillait également tous les 15 jours l'une des grandes soirées parisiennes, le "bal de l'Elysée-Montmartre". L'Elysée-Montmartre abrita aussi à partir de 1949 des combats de catch et de boxe.
plus d'info ici et encore là.

vendredi 18 mars 2011
pour ce week end, allons à la flêche d'or à Paris et au vide-grenier rétro


Ambiance rétro et décalée pour ce week end à Paris.
Courez-y , c'est tendance !
... et vous pourrez dire que vous y étiez, lundi au bureau aux collègues ou au bistrot à coté de l'école, aux parents-copains autour du petit kawa matinal !!
pour le marché rétro :
-stand de vêtements vintage années 1930 , 1940 ,1950 ,1960 , 1970,1980
-stand de coiffure retro pour hommes avec nicky ,
concert a 17h : JO kARABINE (fifties rhythm and blues)
ambiance forties et fifties ,
bar et restauration sur place,
paf : 2 euros,de 10h a 20h
Next Step, 11 cour debille, 75011 Paris
métro : Voltaire
pour le show des effeuilleuses :
Miss Glitter Painkiller présente
LA GLITTER FEVER VIII le dimanche 20 mars 2011 à la Flèche d’Or
Strip Tease Burlesque de 19h00 à minuit
...Une soirée burlesque, rock, glamour, sexy et déjanté!
7 effeuilleuses extraordinaires, et 3 garçons carnivores et décalés, se relaieront pendant 1h30 de spectacles sur des musiques brûlantes et pailletées!
Un show plus fort, plus grand, plus sexy et plus fou!
…………………………………………………………………………………
Avec les éblouissantes :
Cerise Diva Champomy
Mimi de Montmartre
Miss Botero
Missy Malone (UK)
Miss Glitter Painkiller
Pinkie Special (US)
Valentina del Pearls
et les extraordinaires Mangeurs de Lapin!
Et nos Dj’s chouchous Electroclit et Lord Vibrolux
Stands : Lili Cerise et Bloody Frills
102 bis rue de Bagnolet Paris 20ème. Métro : Gambetta, Porte de Bagnolet
Alexandre Dumas
Maraîchers
jeudi 17 février 2011
Bill Cunningham New York Trailer
Bill Cunningham est une légende. Cette simple phrase suffit à résumer ce photographe de mode américain. Celui dont Anna Wintour dit ”We all get dressed for Bill” travaille toujours pour le New York Times. Né en 1928, Bill est le père de tous les photographes de looks de rue, métier qu’il exerce depuis 1978.
Bill Cunningham is a legend. This simple phrase is enough to shortly describe this american fashion photographer. The one about whom Anna Wintour says “We all get dressed for Bill” still works for the New York Times. Born in 1928, Bill is the father of street style photographers, the profession he practises since 1978. The documentary « Bill Cunningham New York » done by Richard Press is therefore something not to miss without any excuse for the fashion lovers.
vendredi 24 décembre 2010
dimanche 7 février 2010
"ne pas en entendre ses oreilles" : du hard rock à la villa Médicis
Mais, d'ores et déjà, le grand salon de la Villa a été habité par des sonorités que bien des oreilles classiques auraient apparenté à du hard-rock. Il s'agissait pourtant de musique contemporaine... Tous les concerts programmés dans le cadre du festival Controtempo, dont la première édition s'est tenue du 17 au 20 janvier, n'ont certes pas marqué les esprits par un traitement agressif du timbre et un niveau élevé de décibels. Mais ceux qui comportaient des oeuvres des actuels pensionnaires de la Villa ont juré avec la tradition séculaire du lieu. Art of Metal II, de Yann Robin, a surpris jusqu'aux autres artistes en résidence.
Il a commencé par dire non
Une demi-heure après la fin du concert du 17 janvier, un jeune architecte n'en revenait pas. Jamais il n'aurait imaginé que son voisin d'atelier compose une telle musique. Il faut dire que Yann Robin, né en 1974, qui a eu l'idée de ce festival dès son arrivée à Rome en avril 2009, a effectué un parcours musical des plus singuliers. Membre, aux claviers, d'un groupe de heavy metal à l'âge de 15 ans, il a fait ensuite du jazz jusqu'à 26 ans avant d'entrer au Conservatoire de Paris et à l'Institut de recherche et coordination acoustique/musique (Ircam), deux institutions qui constituent des étapes quasiment obligées pour les compositeurs d'aujourd'hui.
Les oeuvres de Yann Robin conservent une trace de cette formation atypique pour un musicien "savant". Pièce pour clarinette, contrebasse et dispositif électronique, Art of Metal II s'ouvre sur une distorsion qui concerne autant le domaine du son que celui de l'avant-garde. Ainsi, Alain Billard, le soliste appelé à satisfaire les exigences du compositeur, a commencé par dire non et ne s'est senti prêt pour l'aventure que six mois plus tard. Pourtant, ce clarinettiste n'est pas le premier venu : il a passé plus de quinze ans à créer des oeuvres au sein de l'Ensemble intercontemporain.
Des sollicitations inédites, le quatuor Diotima en a souvent rencontrées mais rarement comme celles induites par In Vivo, un quatuor à cordes amplifié de Raphaël Cendo, né en 1975. A l'instar de Yann Robin, ce trublion de la musique contemporaine n'est pas venu à la création par la voie classique mais en chantant dans un groupe de rock alternatif.
jeudi 14 janvier 2010
suite de Boltanski au Grand Palais

extrait du texte issu de la page d'accueil, le début et la suite du texte ici.
Vous pouvez l'écouter aussi , là.
jeudi 28 août 2008
La BO de Pump Up The Volume

Je l'avais trouvé en vinyle à l'époque, à Londres, pour 5o Pences (5 Frcs , -1 d'euro) pour le revendre 20 balles aux Halles, chez le disquaire punk Parallèle. J'aurai du me méfier, mon acheteur l'avait regardé trop passionnément et était resté muet un long moment !


mardi 25 mars 2008
c'est mon côté folk us
allez voir et entendre , c'est beau comme une légende