vendredi 27 novembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
blague du jour
un extraterrestre qui fait caca.
ouais, je sais, c'est potache.
Je viens de le lire dans un très joli livre sur les couleurs trouvé au salon du livre pour la jeunesse.
lundi 23 novembre 2009
image du jour à Paris Photo 09
Moi, j'ai oublié mon appareil photo mais je n'ai pas oublié d'y aller avec ma fille.
J'ai vu plein de grandes photos de villes :
Stéphane Couturier
Séoul – Tanji 2003
Là, c'est Taji Matsue.
Ici, michael Wolf.
et Marjan Teeuwen, là.
J'ai vu des photos aussi plus poétiques, plus picturales comme :
Lui, Shinichi Maruyama est ici.
Là, c'est Jessica Backhaus
et ce lion de Nick Brandt
mardi 17 novembre 2009
Paris photo
Du jeudi 19 au dimanche 22 novembre 2009
Paris Photo ces 4 prochains jours :
Jeudi 19 novembre de 11h30 à 20h
Vendredi 20 novembre de 11h30 à 22h
Samedi 21 novembre de 11h30 à 20h
Dimanche 22 novembre de 11h30 à 19h
Prix d'entrée : 15 € / 7,50 € pour les étudiants
Billets d’entrée coupe-file : www.parisphoto.fr
Carrousel du Louvre
99 rue de Rivoli, Paris 1er
www.parisphoto.fr
lundi 16 novembre 2009
la mère et la fille
J'ai trouvé cette page dans mes "piges" issue d'un ELLE des années 80.
Piges = des pages arrachées dans les magazines !
J'avais pris cette page, pour que moi-même, je puisse me trouver un béret et y mettre pleins de badges.
Avez-vous reconnu qui sont cette jeune et future maman et cette petite fille ?
Et les voilà maintenant.
Carine Roitfeld et sa fille Julia.
La photo ci-dessus je l'ai trouvé ici.
vendredi 13 novembre 2009
superstition du jour : vendredi 13
Une supersition remontant à la Bible
La Cène. Tableau de Duccio di Bueninsegna. |
La croyance associant le vendredi 13 au malheur aurait des origines bibliques. D'après le Nouveau Testament, lors de la Cène, dernier repas du Christ, les participants auraient été au nombre de 13 : Jésus et ses 12 apôtres, "Simon, appelé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ; Philippe, et Barthélemy ; Thomas, et Matthieu, le publicain ; Jacques, fils d'Alphée, et Thaddée ; Simon le Zélote (ou le Cananite), et Judas l'Iscariote, celui qui livra Jésus. » (Evangile de Matthieu).Pour ce qui est de la crainte du vendredi, elle viendrait du fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi.
Les croyances nordiques
La crainte du vendredi 13 puiserait également ses origines dans les mythes nordiques antiques.
La mort du Dieu Balder
La punition de Loki. Gravure du XIXe siècle |
Selon la mythologie nordique, Odin, dieu des guerriers, avait un jour réuni onze de ses amis dieux pour un diner, dans sa demeure de Valhalla. Loki, dieu de la guerre et du mal, vexé de ne pas être de la fête, décida de s'inviter malgré tout. Seulement, ce treizième invité surprise n'était pas le bienvenu. Le fils d'Odin, le beau Balder, dieu de l'amour et de la lumière, tenta de chasser l'intrus. Une bataille éclata entre les deux dieux qui se vouaient une haine depuis toujours. Loki, dieu jaloux et malveillant, lui décocha une flèche empoisonnée en plein coeur, abattant Balder le "bien aimé". Depuis cette légende, dans les pays scandinaves, le chiffre 13 est considéré comme maudit et être 13 à table porterait malheur.
Freyja dans son char. Tableau de Nils Blommér |
Frigga ou la diabolisation des croyances païennes
Dans la mythologie nordique, Frigga (ou Freya) était la reine des dieux, déesse de l'amour et de la fertilité. Elle était célébrée par ses adorateurs le vendredi. Le mot "friday", vendredi en anglais, viendrait d'ailleurs de cette célébration et signifierait "Freya's day". Mais aux Xe et XIe siècles, les pays du nord sont progressivement convertis au christianisme. On se met alors à raconter que Frigga est en réalité une sorcière et qu'elle a été bannie au sommet d'une montagne. Pour se venger, elle inviterait, tous les vendredis, le diable et 11 sorcières pour maudire les hommes et leur jeter de mauvais sorts.
Mythologies gréco-romaines
Les Grecs et les Romains donnent au chiffre 13 une connotation négative. Ces deux mythologies, qui comportent de grandes similitudes, associent toutes deux le chiffre 12 à la régularité et la perfection. Ainsi, il y a 12 dieux olympiens, 12 constellations, 12 signes du zodiaque, 12 heures du jour et de la nuit. Le nombre 13, qui implique d'ajouter une unité au 12 parfait, vient rompre ce cycle régulier et introduit le désordre. Détruisant l'harmonie, il est synonyme de malheur. Pour ce qui est du vendredi, il est associé aux événements malheureux puisque c'est ce jour-là, dans la Rome antique, que se déroulent généralement les exécutions des comdamnés à mort.
Un jour de chance pour certains
Vendredi 13 n'est pas un jour de malchance pour tout le monde. Ainsi, tous les vendredis 13, la Française des Jeux enregistre 3 fois plus de joueurs. Depuis 1991, elle organise une campagne appelée "opération V13" ; le vendredi devient la "Journée de la Chance" et les joueurs sont susceptibles de remporter des cagnottes extraordinaires. Mais il n'y pas que pour eux que le vendredi est synonyme de chance.
jeudi 12 novembre 2009
lundi 9 novembre 2009
Denise Fayolle et Maïmé Arnodin : deux visionnaires
Ce livre est l’histoire de deux femmes libres, Maïmé Arnodin et Denise Fayolle. Leur audace permit à la France de s’ouvrir au style, au design et au graphisme. Du journal Le Jardin des modes à leur agence Mafi a, en passant par Prisunic de la grande époque, de jeunes artistes talentueux ont trouvé auprès d’elles une énergie et un élan peu communs.
Elles s’entourèrent de graphistes et d’illustrateurs d’exception comme Roman Cieslewicz, Jean-Michel Folon, Michel Quarez, Alain Le Foll. Elles ont donné leur chance avant tout le monde aux stylistes Gérard Pipart, Emmanuelle Khanh, Sonia Rykiel, Jean-Paul Gaultier, Kenzo, Issey Miyake. À leur demande, un jeune designer anglais du nom de Terence Conran dessina du mobilier pour le grand public. Les photographes Guy Bourdin, Helmut Newton,
Peter Knapp ou encore David Seidner ont signé pour elles des campagnes de communication devenues légendaires. Deux ans de recherche d’archives et d’interviews, plus de trois cents documents inédits retracent l’aventure du « beau pour tous », ou comment deux femmes d’exception ont réussi à faire descendre la création dans la rue.
Editions : L'iconoclaste
Titre : Le beau pour tous
Auteur : Sophie Chapdelaine de Montvalon
Pagination : 250 pages
Prix : 68 €
Office : 5 novembre 2009
isbn : 978 2 35204 093 4
mardi 3 novembre 2009
la mode mode d'emploi
Ben, voilà un nouveau livre sur la mode expliquée aux parents ou aux marketteurs.
Deux papiers sur ce bouquin ici et là. Evidemment que je vais COURIR l'acheter ou du moins le lire.
Chez Robert Laffont
Parution : 1er octobre 2009
Format : 165 x 220 mm, 288 pages, 22 €
ISBN : 978-2-221-11205-2
" Il jette les premières bases d’une nouvelle discipline : la popsociologie." dixit la 4e de couv
Un graphiste libre... Gérard Paris-Clavel
On retrouve Gérard Paris-Clavel et Anne Desrivières pour la brochure 2009-2010, à télécharger ici.
Pour connaitre ce graphiste qui a œuvré dans le social et le militantisme au travers de grandes institutions (le partit communiste, le secours populaire entre autres...) avec un graphisme tranchant , sans compromis, ludique et bien particulier, vous pouvez lire ici, et un témoignage là .
Allez, un petit biopic :
Né le 2 octobre 1943 à Paris, diplômé des métiers d’art et de l’Institut de l’environnement, Gérard Paris-Clavel prend part au travail de Henryk Tomaszewski à l’Ecole des beaux arts de Varsovie. Membre fondateur de Grapus (1970-1989) avec Pierre Bernard, François Miehe et Alex Jordan, le groupe vise à construire une pratique sociale du graphisme beaucoup d’artistes y participeront , comme Thomas Hirschorn avec qui il fera Cocolux. En 1989, il fonde les graphistes associés avec Vincent Perottet.
Depuis 1992, il développe un travail artistique autonome. Il est membre de l’association Ne pas Plier, graphisme au service du politique. « Les signes de pauvreté ne sont pas liés à la pauvreté des signes, images, mots qui accompagnent le conflit social. » Il crée donc affiches, autocollants, tracts, cartes postales et recueils de paroles brutes.
Travaillant aujourd’hui avec le théâtre, il se définit comme un « graphiste libre ».
Et encore un portrait de ce dernier par François Barré :
Esthétique et politique, le parcours d’un graphiste social, Gérard Paris-Clavel (...) être tout à la fois artiste, artisan, militant, c’est une question à résoudre davantage qu’une évidence; une question qui ne cesse et l’important alors n’est pas d’être vu et compris dans le présent mais d’agiter l’avenir et de l’ ici et maintenant pour y éveiller les consciences, vivre le partage et échafauder les constructions futures ? Comment conjuguer la gratuit de l’art, l’utilité d’une action solidaire et la relation à la commandite ? Comment allier l’accomplissement de soi et l’appartenance à une société; le temps d’une vie et celui de légataire et légateur, savoir et saveur, corps physique et corps social, différent et semblable ? (...)
François Barré, Mai 2008, extrait de Le vent se lève, il faut tenté de vivre.
Et donc on arrive à ceci pour demain soir :
Voici le thème du débat d'idées qui est à la Maison Pop montreuilloise (lieu d'éducation populaire!)
Travail de la culture et culture du travail
animé par Franck Lepage, éducateur populaire, membre de la coopérative d’éducation populaire Le Pavé
" Depuis trente ans « la culture » ne parle plus de la vie réelle. La vie réelle sent la sueur, la chaîne, l’usine (qui existent toujours) et les avions-charters de Vietnamiens embauchés à rabais pour la saison du saumon dans l’agro-alimentaire breton. Interrogés récemment sur la proportion statistique d’ouvriers dans la société française, des étudiants en cinquième année la situent à 5 %... alors qu’elle est de 30 %, soit 6 300 000 ouvriers selon l’INSEE en 2008 ! La culture sert aussi à rendre invisible la classe ouvrière en n’en parlant plus. En parler serait inconvenant, dépassé, ringard…pire des sacrilèges, on voudrait « instrumenter » l’art au service du « social ». L’artiste se croit la figure du nouveau héro moderne quand il n’est que la pâle justification du travailleur nouveau : celui sur qui pèse toute la responsabilité de son emploi, l’employé free-lance qui fait rêver le patronat. Le fait que l’on n’interroge plus les rapports de travail dans les loisirs ou dans la culture est une des grandes victoires du capitalisme. Comment l’action culturelle, dans la pratique de ses agents, peut-elle maintenir l’existence d’une interrogation sur le sens du travail et des rapports sociaux qui s’y déploient ? ... suite ici.