jeudi 31 décembre 2009

vendredi 25 décembre 2009

jeudi 24 décembre 2009

mercredi 23 décembre 2009

mardi 22 décembre 2009

lundi 21 décembre 2009

samedi 19 décembre 2009

expo à voir : playmobil land


Musée des Arts décoratifs - galerie des jouets
107 rue de Rivoli
75001 Paris

Tél. : 01 44 55 57 50

- Plan d’accès
- Horaires et tarifs
- Activités proposées autour de l’exposition

Il était une fois Playmobil

du 10 décembre 2009 au 9 mai 2010

Il était une fois Playmobil est la première exposition en France de la marque allemande célébrant les trente-cinq ans de ce personnage de 7,5 cm de haut et de ses multiples accessoires. Le parcours mêle mondes contemporains et imaginaires fabriqués depuis 1974 jusqu’à aujourd’hui. suite ici.

jeudi 17 décembre 2009

mercredi 16 décembre 2009

mardi 15 décembre 2009

histoire du jour

Laissez-moi vous raconter une histoire en images, allez. Évidemment, ce sont mes photos faites dans 80's et 90's. J'adoooore les bains de foule.
Pour ceux d'aujourd'hui, c'est moins bien.

vendredi 27 novembre 2009

jeudi 26 novembre 2009

blague du jour

Qu'est ce qui est vert et qui pousse au fond du jardin ?







un extraterrestre qui fait caca.



ouais, je sais, c'est potache.
Je viens de le lire dans un très joli livre sur les couleurs trouvé au salon du livre pour la jeunesse.

lundi 23 novembre 2009

image du jour à Paris Photo 09

Une image de ma copine Kate. Elle, qui était avec moi ici et qui fait ça.
Moi, j'ai oublié mon appareil photo mais je n'ai pas oublié d'y aller avec ma fille.

J'ai vu plein de grandes photos de villes :



Stéphane Couturier
Séoul – Tanji 2003
, c'est Taji Matsue.

Ici, michael Wolf.

et Marjan Teeuwen, .

J'ai vu des photos aussi plus poétiques, plus picturales comme :
Lui, Shinichi Maruyama est ici.

, c'est Jessica Backhaus
et ce lion de Nick Brandt

mardi 17 novembre 2009

Paris photo

« Paris Photo »
Du jeudi 19 au dimanche 22 novembre 2009
Paris Photo ces 4 prochains jours :
Jeudi 19 novembre de 11h30 à 20h
Vendredi 20 novembre de 11h30 à 22h
Samedi 21 novembre de 11h30 à 20h
Dimanche 22 novembre de 11h30 à 19h

Prix d'entrée : 15 € / 7,50 € pour les étudiants
Billets d’entrée coupe-file : www.parisphoto.fr

Carrousel du Louvre
99 rue de Rivoli, Paris 1er

www.parisphoto.fr

lundi 16 novembre 2009

la mère et la fille



J'ai trouvé cette page dans mes "piges" issue d'un ELLE des années 80.
Piges = des pages arrachées dans les magazines !
J'avais pris cette page, pour que moi-même, je puisse me trouver un béret et y mettre pleins de badges.

Avez-vous reconnu qui sont cette jeune et future maman et cette petite fille ?

Et les voilà maintenant.

Carine Roitfeld et sa fille Julia.

La photo ci-dessus je l'ai trouvé ici.

vendredi 13 novembre 2009

superstition du jour : vendredi 13

Une supersition remontant à la Bible

La Cène
La Cène. Tableau de Duccio di Bueninsegna.

La croyance associant le vendredi 13 au malheur aurait des origines bibliques. D'après le Nouveau Testament, lors de la Cène, dernier repas du Christ, les participants auraient été au nombre de 13 : Jésus et ses 12 apôtres, "Simon, appelé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ; Philippe, et Barthélemy ; Thomas, et Matthieu, le publicain ; Jacques, fils d'Alphée, et Thaddée ; Simon le Zélote (ou le Cananite), et Judas l'Iscariote, celui qui livra Jésus. » (Evangile de Matthieu).Pour ce qui est de la crainte du vendredi, elle viendrait du fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi.


Les croyances nordiques

La crainte du vendredi 13 puiserait également ses origines dans les mythes nordiques antiques.


La mort du Dieu Balder

La  punition de Loki
La punition de Loki. Gravure du XIXe siècle

Selon la mythologie nordique, Odin, dieu des guerriers, avait un jour réuni onze de ses amis dieux pour un diner, dans sa demeure de Valhalla. Loki, dieu de la guerre et du mal, vexé de ne pas être de la fête, décida de s'inviter malgré tout. Seulement, ce treizième invité surprise n'était pas le bienvenu. Le fils d'Odin, le beau Balder, dieu de l'amour et de la lumière, tenta de chasser l'intrus. Une bataille éclata entre les deux dieux qui se vouaient une haine depuis toujours. Loki, dieu jaloux et malveillant, lui décocha une flèche empoisonnée en plein coeur, abattant Balder le "bien aimé". Depuis cette légende, dans les pays scandinaves, le chiffre 13 est considéré comme maudit et être 13 à table porterait malheur.


Freyja dans son char
Freyja dans son char. Tableau de Nils Blommér

Frigga ou la diabolisation des croyances païennes

Dans la mythologie nordique, Frigga (ou Freya) était la reine des dieux, déesse de l'amour et de la fertilité. Elle était célébrée par ses adorateurs le vendredi. Le mot "friday", vendredi en anglais, viendrait d'ailleurs de cette célébration et signifierait "Freya's day". Mais aux Xe et XIe siècles, les pays du nord sont progressivement convertis au christianisme. On se met alors à raconter que Frigga est en réalité une sorcière et qu'elle a été bannie au sommet d'une montagne. Pour se venger, elle inviterait, tous les vendredis, le diable et 11 sorcières pour maudire les hommes et leur jeter de mauvais sorts.

Mythologies gréco-romaines

Les Grecs et les Romains donnent au chiffre 13 une connotation négative. Ces deux mythologies, qui comportent de grandes similitudes, associent toutes deux le chiffre 12 à la régularité et la perfection. Ainsi, il y a 12 dieux olympiens, 12 constellations, 12 signes du zodiaque, 12 heures du jour et de la nuit. Le nombre 13, qui implique d'ajouter une unité au 12 parfait, vient rompre ce cycle régulier et introduit le désordre. Détruisant l'harmonie, il est synonyme de malheur. Pour ce qui est du vendredi, il est associé aux événements malheureux puisque c'est ce jour-là, dans la Rome antique, que se déroulent généralement les exécutions des comdamnés à mort.

Un jour de chance pour certains

Chat noir

Vendredi 13 n'est pas un jour de malchance pour tout le monde. Ainsi, tous les vendredis 13, la Française des Jeux enregistre 3 fois plus de joueurs. Depuis 1991, elle organise une campagne appelée "opération V13" ; le vendredi devient la "Journée de la Chance" et les joueurs sont susceptibles de remporter des cagnottes extraordinaires. Mais il n'y pas que pour eux que le vendredi est synonyme de chance.

source : L'internaute


jeudi 12 novembre 2009

lundi 9 novembre 2009

Denise Fayolle et Maïmé Arnodin : deux visionnaires


Ce livre est l’histoire de deux femmes libres, Maïmé Arnodin et Denise Fayolle. Leur audace permit à la France de s’ouvrir au style, au design et au graphisme. Du journal Le Jardin des modes à leur agence Mafi a, en passant par Prisunic de la grande époque, de jeunes artistes talentueux ont trouvé auprès d’elles une énergie et un élan peu communs.
Elles s’entourèrent de graphistes et d’illustrateurs d’exception comme Roman Cieslewicz, Jean-Michel Folon, Michel Quarez, Alain Le Foll. Elles ont donné leur chance avant tout le monde aux stylistes Gérard Pipart, Emmanuelle Khanh, Sonia Rykiel, Jean-Paul Gaultier, Kenzo, Issey Miyake. À leur demande, un jeune designer anglais du nom de Terence Conran dessina du mobilier pour le grand public. Les photographes Guy Bourdin, Helmut Newton,
Peter Knapp ou encore David Seidner ont signé pour elles des campagnes de communication devenues légendaires. Deux ans de recherche d’archives et d’interviews, plus de trois cents documents inédits retracent l’aventure du « beau pour tous », ou comment deux femmes d’exception ont réussi à faire descendre la création dans la rue.

Editions : L'iconoclaste
Titre : Le beau pour tous
Auteur : Sophie Chapdelaine de Montvalon
Pagination : 250 pages
Prix : 68 €
Office : 5 novembre 2009
isbn : 978 2 35204 093 4

mardi 3 novembre 2009

la mode mode d'emploi


Ben, voilà un nouveau livre sur la mode expliquée aux parents ou aux marketteurs.
Deux papiers sur ce bouquin ici et . Evidemment que je vais COURIR l'acheter ou du moins le lire.
Chez Robert Laffont
Parution : 1er octobre 2009
Format : 165 x 220 mm, 288 pages, 22 €
ISBN : 978-2-221-11205-2

" Il jette les premières bases d’une nouvelle discipline : la popsociologie." dixit la 4e de couv

Un graphiste libre... Gérard Paris-Clavel



On retrouve Gérard Paris-Clavel et Anne Desrivières pour la brochure 2009-2010, à télécharger ici.
Pour connaitre ce graphiste qui a œuvré dans le social et le militantisme au travers de grandes institutions (le partit communiste, le secours populaire entre autres...) avec un graphisme tranchant , sans compromis, ludique et bien particulier, vous pouvez lire ici, et un témoignage .
Allez, un petit biopic :
Né le 2 octobre 1943 à Paris, diplômé des métiers d’art et de l’Institut de l’environnement, Gérard Paris-Clavel prend part au travail de Henryk Tomaszewski à l’Ecole des beaux arts de Varsovie. Membre fondateur de Grapus (1970-1989) avec Pierre Bernard, François Miehe et Alex Jordan, le groupe vise à construire une pratique sociale du graphisme beaucoup d’artistes y participeront , comme Thomas Hirschorn avec qui il fera Cocolux. En 1989, il fonde les graphistes associés avec Vincent Perottet.
Depuis 1992, il développe un travail artistique autonome. Il est membre de l’association Ne pas Plier, graphisme au service du politique. « Les signes de pauvreté ne sont pas liés à la pauvreté des signes, images, mots qui accompagnent le conflit social. » Il crée donc affiches, autocollants, tracts, cartes postales et recueils de paroles brutes.
Travaillant aujourd’hui avec le théâtre, il se définit comme un « graphiste libre ».

Et encore un portrait de ce dernier par François Barré :
Esthétique et politique, le parcours d’un graphiste social, Gérard Paris-Clavel (...) être tout à la fois artiste, artisan, militant, c’est une question à résoudre davantage qu’une évidence; une question qui ne cesse et l’important alors n’est pas d’être vu et compris dans le présent mais d’agiter l’avenir et de l’ ici et maintenant pour y éveiller les consciences, vivre le partage et échafauder les constructions futures ? Comment conjuguer la gratuit de l’art, l’utilité d’une action solidaire et la relation à la commandite ? Comment allier l’accomplissement de soi et l’appartenance à une société; le temps d’une vie et celui de légataire et légateur, savoir et saveur, corps physique et corps social, différent et semblable ? (...)
François Barré, Mai 2008, extrait de Le vent se lève, il faut tenté de vivre.

Et donc on arrive à ceci pour demain soir :


Voici le thème du débat d'idées qui est à la Maison Pop montreuilloise (lieu d'éducation populaire!)

Culture de la domination / Domination par la culture
mercredi 4 novembre 2009 à 20 h

Travail de la culture et culture du travail

animé par Franck Lepage, éducateur populaire, membre de la coopérative d’éducation populaire Le Pavé

L’art de vivre ensemble par Franck Lepage

" Depuis trente ans « la culture » ne parle plus de la vie réelle. La vie réelle sent la sueur, la chaîne, l’usine (qui existent toujours) et les avions-charters de Vietnamiens embauchés à rabais pour la saison du saumon dans l’agro-alimentaire breton. Interrogés récemment sur la proportion statistique d’ouvriers dans la société française, des étudiants en cinquième année la situent à 5 %... alors qu’elle est de 30 %, soit 6 300 000 ouvriers selon l’INSEE en 2008 ! La culture sert aussi à rendre invisible la classe ouvrière en n’en parlant plus. En parler serait inconvenant, dépassé, ringard…pire des sacrilèges, on voudrait « instrumenter » l’art au service du « social ». L’artiste se croit la figure du nouveau héro moderne quand il n’est que la pâle justification du travailleur nouveau : celui sur qui pèse toute la responsabilité de son emploi, l’employé free-lance qui fait rêver le patronat. Le fait que l’on n’interroge plus les rapports de travail dans les loisirs ou dans la culture est une des grandes victoires du capitalisme. Comment l’action culturelle, dans la pratique de ses agents, peut-elle maintenir l’existence d’une interrogation sur le sens du travail et des rapports sociaux qui s’y déploient ? ... suite ici.


jeudi 29 octobre 2009

Réflexion du jour

Une réflexion du jour pour changer des images ou dictons du jour :

J'ai reçu un mail qui comportait cette définition. Celle-ci pouvant s'appliquer aux enfants de maintenant
permettant de comprendre leurs usages et comportements culturels (en opposition aux nôtres à leur âge) :

" Un natif numérique (ou digital native en anglais) est une personne ayant grandi dans un environnement numérique comme celui des ordinateurs, Internet, les téléphones mobiles et les baladeurs MP3.
Un (im)migrant numérique (ou digital immigrant) est un individu ayant grandi hors d'un environnement numérique et l'ayant adopté plus tard. Un natif numérique parlera de son nouvel «appareil photo» là où un migrant numérique sera fier de son nouvel «appareil photo numérique».

Marc Prensky prétend avoir inventé le terme natif (du) numérique, en ce qui a trait à une nouvelle race d'élèves entrant dans les établissements d'enseignement. Le terme est une analogie avec la notion d'autochtone, pour qui la religion, la langue et les coutumes locales sont naturels et vont de soi, à la différence des immigrés qui doivent s'adapter et assimiler leur nouvel environnement. Prensky parle d'accents numériques chez les immigrants, comme imprimer les documents au lieu de les consulter à l'écran ou l'impression des courriels sur support papier. Les immigrants numériques ont un «fort accent» lorsqu'ils agissent dans le monde numérique à la manière pré-numérique ; par exemple, lorsqu'ils téléphonent à quelqu'un pour confirmer qu'un courriel a bien été reçu.

Un projet de recherche sur les natifs numériques est mené conjointement par le Berkman Centre for Internet & Society (le Centre Berkman pour Internet et la Société) à la Harvard Law School et le Centre de recherche en droit de l'information à l'Université de Saint-Gall en Suisse.

Gartner a présenté sur le terme à leur Mai, 2007 IT Expo (Emerging Trends) Symposium à Barcelone. Plus récemment, Gartner a fait référence au travail de Prensky, en particulier au sujet des 18 zones de changement comprenant la manière de travailler des natifs numériques, dans leur «IT-Based Collaboration and Social Networks Accelerate R&D» (la recherche et le développement sont accélérés par la collaboration électronique et les réseaux sociaux), document de recherche publié le 22 janvier 2008.

Tout le monde ne s'accorde pas avec la terminologie et les hypothèses sous-jacentes du natif numérique, en particulier en ce qui a trait à la notion de leur différenciation. Il existe de nombreux arguments raisonnables contre cette différenciation. Il suggère une fluidité avec la technologie que tous les enfants et les jeunes adultes auraient, et une maladresse avec la technologie que tous les adultes âgés ont. Il ignore totalement le fait que l'univers numérique a été conçu et créé par les migrants numériques. Enfin, dans sa thèse, le concept de natifs numériques met en avant les utilisateurs des technologiques comme ayant un statut spécial en ce qui a trait à la technologie parce qu'ils l'utilisent ; ceci passe sous silence les différences importantes entre les utilisateurs des technologies et leurs créateurs.

Fondamentalement, il y a débat pour savoir si les affirmations sur les natifs numériques, et leurs implications pour l'éducation, sont assez crédibles. Bennett, Maton & Kervin (2008), par exemple, font un examen critique des éléments de cette recherche et décrivent certains des natifs numériques comme une forme académique de panique morale. "


et que rajoute - t- il ensuite ? :

Eux : natifs numériques
Nous : migrants numériques




mercredi 28 octobre 2009

image du jour

vive le rose !

samedi 24 octobre 2009

fiac suite : peter blake




Merci à ma copine Kate qui avait pris son appareil photo numérique.
Voici donc les "Peter Blake" exposés à la fiac.