mardi 24 décembre 2013

lundi 9 décembre 2013

Comme ça ! parceque cette image a un siècle

là, c'est comme mes dernières trouvailles. Je n'ai pas noté le site où je l'ai trouvé.

jeudi 5 décembre 2013

mardi 3 décembre 2013

un sapin de noël
impossible de retrouver où je l'ai trouvé

dimanche 1 décembre 2013

lundi 25 novembre 2013

vendredi 15 novembre 2013

Paris en couleur au début du siècle dernier

ici d'autres images de Paris en couleur
à voir
c'est superbe

mardi 12 novembre 2013

Le gros dans l'art # 16


Avec l’exposition Coch-Coch, une galerie sublime l’animal tout rond et tout rose grâce à des artistes contemporains. A voir et à bouffer.
SPECIAL FIAC. Fondé par Elisa Valenzuela et Marion Lepori, le collectif Les Fauves a pour ambition d’aider de jeunes artistes français et européens à produire et promouvoir des projets d’éditions artistiques qui serviront de tremplin à leur carrière. Cette cellule créative ouverte à toutes les disciplines – photographie, cinéma, design, arts graphiques, scénographie… – édite une revue d’art baptisée… Les Fauves

On y pénètre par l’odeur alléché, le groin frétillant comme au printemps, la bouche aux aguets, les pattes chancelantes d’émoi. Hum, ça sent la chair fraîche. L’air est saturé par un fumet de saucissons, de jambon, de Montbéliard et de Morteau qui s’enlacent avec des charcuteries en papier rose et blanc, et une longue saucisse sèche qui vous fait des volutes comme un boyau au-dessus d’un plan de travail carrelé de blanc, comme dans une scène de Delicatessen (1). Autant de beautés, disposées avec grâce par la plasticienne Elisa Valenzuela, dans son installation. Au sol, deux poufs en forme d’oreilles de cochon, comme une invitation à s’affaler en grignotant un bout de cette œuvre qui, surprise du chef, se bouffe (2). Et là, subitement, on se dit «ben mon cochon», ça, c’est de l’art. Et fichtrement même.
Rabelais. «Coch-Coch», voilà le nom de cette bête d’expo produite par Artdicted. Et qui depuis hier régale rue de Richelieu (3) en off de la Fiac en exposant une douzaine d’artistes contemporains. Tous conviés par la commissaire Florence Parot à sublimer, en texte, vidéos, collages, moulages et installations cet animal qui a tout bon avec son petit corps tout rond et tout rose. En soutien, dans l’arrière-cuisine, la Fédération française des industriels charcutiers traiteurs et son savoureux président, Robert Volut, qui s’enflamme : «Les artistes se sont toujours intéressés à la charcuterie. Sur les fresques de Pompéi, déjà pendent des jambons et saucissons.» Et le voilà qui vous cite Brueghel l’Ancien qui n’hésitait pas à vous glisser de la cochonnaille dans ses tableaux, Picasso et son saucisson, mais aussi Rabelais et ses andouilles ou Balzac et son apologie des rillettes et rillons de Tours… «Comme l’artiste, nous les charcutiers, reprend-il sans chichi, nous choisissons nos matériaux parmi les viandes, boyaux et abats. Nous créons des formes. Un saucisson, c’est une forme. Nous assemblons des produits bruns, des produits roses… Il y a un lien intime entre art et charcuterie. Mais cette expo est une première.»
Armée de pâtés. Alors, cheminons à nouveau dans cette ode au lard qui n’hésite pas à exhiber des tripes en grès émaillé avec un petit trou pour jouer à la tirelire. Ou vous invite à lire un petit récit exaltant «les 1 500 variétés de saucisses teutonnes, fumantes et grassouillettes, grillées, poêlées, bouillies, sautées ou choucroutées». L’ironie et la facétie sont décidément de la partie, quand on se retrouve face à la photo d’une armée de pâtés en croûte, andouilles et autres charcutailles assise en rang d’oignon comme au match de foot sur des gradins roses. Tout juste si on ne redoute pas de les entendre se mettre à gueuler «Cochon d’arbitre !» Résolument déco(ue)nnant aussi cet alignement de fers à repasser censés remplacer la plancha qui fait si bien grésiller les chipolatas et merguez l’été. Une grosse farce ? Pas que… Comme le revendique un photographe dans son cliché : «L’union fait la farce.»
(1) Un film réalisé par Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro en 1991.
(2) Pas de panique, l’installation est réapprovisionnée tous les jours.
(3) Galerie Le Molière, 40, rue de Richelieu, 75001 Paris, jusqu’au 27 octobre, de 10 h à 19 h et le dimanche jusqu’à 17 heures. Gratuit.

article de Libération 

 

un autre extrait sur le gras (dans le lard)

(texte écrit suite à la visite de l'expo coch-coch)

Initiatives intéressantes et, soyons clairs, non dénuées d'intérêts particuliers à revaloriser le gras : l'Observatoire des cuisines populaires est soutenu par Lesieur, l'exposition est à l'initiative de la Fédération Française des Industriels Charcutiers-Traiteurs. Mais je ne peux leur en vouloir de chercher à redorer leur blason tellement ils sont mal traités dans un monde où beaucoup traquent le gras sans répit, que ce soit pour la silhouette ou la santé.
Alors que, combien de fois devra-t-on vous le répéter, notre corps et notre tête ont BESOIN DE GRAS !
Le gras (qu'on nomme aussi les lipides en nutrition) est indispensable à notre organisme, aux membranes de nos cellules, à l'élasticité de notre peau, à notre système nerveux, aux connexions de notre cerveau, à notre fonctionnement hormonal, à l'utilisation de certaines vitamines, à notre système immunitaire... Aussi je me désole quand je vois des femmes m'affirmer qu'elles ne mangent pas gras du tout. Elles se trompent certes car il y a forcément du gras dans certains aliments qu'elles avalent mais si peu : elles cuisinent sans matière grasse, mangent des viandes maigres, des courgettes vapeur ou des haricots verts nature, des yaourts allégés, assaisonnent à peine leurs salades, se privent de pâtisseries, de crème, de beurre, de fromage... Elles croient bien faire pour leur poids sans se préoccuper de leur santé. Et même pour leur poids, elles se trompent : ce n'est pas le gras qui fait grossir, c'est son EXCES !

jeudi 7 novembre 2013

le gros dans l'art # 15



 Salade de poulet en pot-au-feu
Pour 8 à 10 personnes (en entrée)
1. Placez un poulet fermier entier dans une grosse marmite, recouvrez d'eau, ajoutez 3 branches de céleri, 1 morceau de gingembre, 2 oignons blancs pelés, 6 carottes entières pelées, une cuillerée de gros sel, quelques grains de poivre. Portez à ébullition puis réduisez le feu, et faites cuire pendant au moins deux heures en écumant de temps en temps.
2. Lorsque la viande se détache des os, arrêtez le feu et laissez refroidir dans son bouillon. Egouttez le poulet, déchiquetez-le en gros morceaux, détaillez les carottes en tronçons également (jetez céleri, oignons et gingembre ; filtrez et réservez le bouillon pour un autre usage). Coupez le coeur d'un céleri branche frais en rondelles, détaillez une dizaine de cornichons en rondelles, ainsi qu'une échalote ou un petit oignon rouge en fines lamelles.
Préparez une vinaigrette bien relevée : mélangez 1 cuillerée à soupe de moutarde de Dijon avec 2 à 3 cuil. à soupe de vinaigre de cidre ou de Xérès, ajouter 4 à 5 cuil. à soupe d'huile d'arachide vierge. Ajustez le sel et le poivre, fouettez bien la vinaigrette jusqu'à consistance d'une mayonnaise légère. Émincez de l'aneth.
Mélangez le poulet, les carottes et les légumes frais avec la vinaigrette, puis parsemez d'aneth. Servez à température ambiante. C'est également délicieux dans un sandwich. la recette du monde chez Aline

 

 

RON MUECK (1958- )Sculpteur australien, né à Melbourne
Après avoir réalisé des marionnettes et des effets spéciaux pour le cinéma, l´artiste australien Ron Mueck développe à partir de 1996 une œuvre personnelle, étrange et puissante, qui a profondément renouvelé la question de la sculpture contemporaine.
C'est une une œuvre hyperréaliste entre univers réel et monde fantasmagorique, qui dérange et fascine. Si l´illusion du vivant est rendue par l´imitation parfaite des moindres détails du corps humain, tels que les veines, les rides ou la pilosité, les sculptures, souvent disproportionnées, sortent du champ du réalisme pur par leur gigantisme ou leur petitesse.
À travers ces personnages prostrés, fermés sur eux-mêmes, somnolant ou fermés sur eux-mêmes, somnolant ou aux aguets, l´immense subtilité du travail de Ron Mueck réside dans l´évocation d´univers personnels et intimes, déplaçant vers la sphère psychologique les enjeux du réalisme artistique.
texte de Robert Rosenblum 


Big man
Untitled (Big Man), 2000. Pigmented polyester resin on fiberglass, 81 x 46.25 x 82.25 in.






mardi 5 novembre 2013

Image du jour

trouvés sur ce site

lundi 4 novembre 2013

un album appelé Nouvelle fraiche de Laurent Lamarca

"J'ai laissé derrière moi", disponible : http://bit.ly/LamarcaJLDM
Premier album "Nouvelle fraîche" à paraître le 23 septembre 2013


en plus c'est filmé dans le quartier de la butte Montmartre au début du clip.

dimanche 3 novembre 2013

jeudi 24 octobre 2013

Marie Claire Maison Novembre 2013 : une surprise sympa

Marie Claire Maison Novembre 13


j'ai vu avec surprise une pile de livres posée sur une table base. 
L''un des livres, au-dessus de tous, est un des nombreux que j'ai conçu et réalisé
Temps denses 2, édi.Téraèdre

page 98

vendredi 6 septembre 2013

I'm a man, Bo Diddley


Arghh, je l'ai trouvé ! Voilà, l'originale chantée par Bo Didley.
et reprise par les Black Strobe




pour le riff de la guitare

jeudi 29 août 2013

Florence : deux statues

Florence (femme jeune) sur Pise (homme âgé)
de face
L'honneur (homme jeune) triomphant de la duperie (homme âgé)
de face
 de dos

de dos

La première est une allégorie demandée de Côme 1er qui vit à Florence pour montrer sa magnificience territoriale face aux provinces et notamment à Pise. Cette commande est excécutée par Giambologna. Ces sculptures sont dans la salle des 500 dans le palais Vecchio, elles se font face à chaque opposition de la salle. Celles ci-dessus sont et photographiées au musée à l'académie des Beaux Arts.


jeudi 22 août 2013

C'est la rentrée !


Pas mal, hein ?!

vendredi 12 juillet 2013

les 1er punk de l'Histoire de France

Lors d'une conférence "Pascal Monfort et les monstres de mode" de Pascal Monfort à la gaiété lyrique, j'ai découvert grâce à lui les premiers punks de l'Histoire de France ; évidemment c'est lié à une certaine manière de s'habiller et une attitude à avoir en société.
« Pascal Monfort et les monstres de mode » 
• Revoir l'émission en intégralité | Gaîté Live




J'ai eu un vrai coup d'histoire ... ces punks -là , trop bien et très drôles
(à entendre à 23 minutes et 11 secondes de la vidéo de la conférence -ci-dessus-> jusqu'à 28mm ; car ensuite il y a des interventions du DA de Purple très chiantes et sans intérêt)

Poudre verdâtre sur le visage, des bosses dans le dos, la coupe de cheveux appelé en "oreille de chien" avec la nuque rasée... "on est la carnation d'une société qui n'importe rien "; 1er groupe à revendiquer un droit à porter la laideur. lls sont des enfants de bourgeois enrichis et qui s'en moquent.



 Ce sont les Incroyables et Merveilleuses sont un courant de mode de la France du Directoire caractérisé par sa dissipation et ses extravagances, en réaction à la sombre tristesse qu'avait répandue la Terreur.
Pour les Incroyables : (...)Les signes principaux auxquels se reconnaissaient les élégants de cette époque étaient des redingotes très courtes, un habit à grand collet, faisant une gibbosité sur le dos, comme s’ils eussent été bossus, une gigantesque cravate semblant cacher un goitre ou des écrouelles, des culottes de velours ou de nankin noir ou vert mal ajustées et faisant paraître leurs genoux cagneux, des bas chinés, tire-bouchonnés sur la jambe, comme s’ils avaient été dépourvus de mollets. En grande toilette, l’incroyable remplaçait sa redingote courte par un habit à taille carrée et à grands revers, un chapeau claque d’une dimension énorme se glissait sous son bras, et ses souliers pointus rappelaient les chaussures à la poulaine du Moyen Âge. ( plus d'info ici)

Pour les Merveilleuses : ici , un papier dessus.
(...) Avec le Directoire, une véritable métamorphose affecta le costume féminin. Le costume féminin à partir des années 1795-1796 effectua une profonde mutation, en rupture avec la décennie précédente. Mais qu’est-ce que l’Antiquomanie ?? C’est n’est rien d’autre qu’une passion pour l’Antiquité gréco-romaine que les femmes du Directoire se sont découvertes après les années passées sous la Terreur…

Déjà débarrassée des paniers encombrants portés avec les robes sous la Révolution, la femme n’eut qu’à relâcher les coutures du corsage. Et subitement, les modifications des années précédentes se radicalisèrent dans le rejet des formes anciennes. Elles rejetèrent expressément tout rapport aux anciennes modes, anciennes coutumes : fragilement moulées dès leur plus tendre enfance, elles laissèrent enfin leurs formes s’épanouir et leur corps se libérer de leurs tortures narcissiques. Toutes ces tendances convergèrent pour aboutir à la noble simplicité de la colonne antique, que la mode féminine prenait pour modèle.  (plus d'info ici)