Il y a une atmosphère, des gammes colorées douces, à voir sur son site.
jeudi 28 février 2013
mardi 26 février 2013
La définition d'un hipster
Je vous passe une compilation faite par Géraldine D. récupéré sur son site
Il y a quelques jours, je suis revenue sur vos définitions du hipster afin de choisir qui allait remporter le bouquin de Jean-Philippe Delhomme. C’était passionnant de voir se dessiner, commentaire après commentaire, le portrait d’un archétype. J’ai eu un mal fou à me décider. C’est finalement Marie qui a gagné, parce qu’à mes yeux, c’est elle qui a le mieux cerné les contradictions qui habitent notre bonhomme, si nombreuses que ce sont finalement elles qui le définissent le mieux:
« Il est accro à son iPhone mais écoute sa musique sur des platines. Il habite dans les quartiers populaires de Paris, ce qui ne l’empêche pas de payer 1 000€ de loyer par mois. Il mange des burgers au bœuf de Kobe. Il s’habille chez BGWH, Qhuit, APC, avec des fringues qui semblent avoir été soigneusement chinées chez Guerrisol…
En outre, il a généralement fait ses études à Rennes/Nantes/Rouen et vit à Paris depuis qu’il travaille dans la musique, le graphisme, la photo, le web. Il vit donc dans l’une des villes les plus polluées d’Europe mais rêve de se casser dans une cabane en Islande. Mais bon, il retourne régulièrement voir ses parents en Bretagne, après être allé aux Transmusicales ou à la Route du rock.
J’ai beaucoup de sympathie pour les hipsters, leur « snobisme », leur désir de culture d’initiés. Ils ont une tournure d’esprit volontairement élitiste, mais veulent en même temps rester au plus près des choses « vraies ». Ce ne sont pas la chemise à carreaux et le bonnet Vans qui font le hipster, mais ce sont toutes ces contradictions qui le caractérisent, dans son besoin de consommation alternative. »
Je n’avais qu’un livre, il pouvait donc n’y avoir qu’un gagnant, mais d’autres commentaires m’ont fait sourire. Je comprends par exemple Poline, qui trouve le hipster si looké qu’il en est effrayant: « Ca n’a l’air de rien, mais un hipster à la maison, ça doit prendre du temps dans la salle de bain (…). Au vu de tout cet attirail externe, j’ai peur de parler au hipster. J’ai l’impression que c’est trop « high level », alors je me contente de regarder. » Souad a également bien étudié son allure: « Il se donne du mal pour son look. Au début je croyais qu’il était fauché, mais c’est juste un genre parce-que souvent ses fringues elles coûtent un bras. »
Céline est plus lapidaire: « Le hipster, c’est quelqu’un qui croit savoir, alors qu’il connait juste quelqu’un qui connait quelqu’un qui sait. » Son arrogance est d’ailleurs pointée du doigt par plusieurs d’entre vous. Selon Laetitia, « il veut qu’au premier coup d’oeil on remarque qu’il est adoubé par les siens ». Souad a remarqué « qu’il se casse vraiment la tête à dénicher de l’underground trop underground et quelques semaines plus tard, le commun des mortels se l’approprie sans gêne. Non mais! La plèbe c’est trop la plaie! »
Piapiapau reproche aux hipsters parisiens « leur tentative permanente d’être cool, d’être branché, d’être avant-garde. Ces essais ne font que lui donner un aspect trop étudié, trop arrogant, travaillé. Alors que quels que soient les codes dont on se sent les plus proches, la mode est un jeu, et rejoindre une communauté ne devrait pas se faire par l’effort mais juste parce qu’on s’y sent à l’aise et que l’on partage les mêmes idées, sans se forcer. » Carock22 a surtout compris qu’il s’agit d’ »une forme avancée du bobo: plus jeune, moins riche, entrepreneur, fan du DIY pour customiser ses biens et ainsi se distinguer, un peu écolo. »
Les hipsters américains séduisent plus Marie B, qui admire leur optimisme et leur « obligation d’avoir l’esprit ouvert pour être open à toutes les nouvelles tendances. » Bienveillante, Fannybens analyse: « Perçu comme un poseur, il va souvent plus loin que ce que l’on croit. »
pour le découvrir en image : avec les dessins de Jean-Philippe Delhomme, et son site
et je vous passe une page de coloriage, voir le post ci-dessous.
Il y a quelques jours, je suis revenue sur vos définitions du hipster afin de choisir qui allait remporter le bouquin de Jean-Philippe Delhomme. C’était passionnant de voir se dessiner, commentaire après commentaire, le portrait d’un archétype. J’ai eu un mal fou à me décider. C’est finalement Marie qui a gagné, parce qu’à mes yeux, c’est elle qui a le mieux cerné les contradictions qui habitent notre bonhomme, si nombreuses que ce sont finalement elles qui le définissent le mieux:
« Il est accro à son iPhone mais écoute sa musique sur des platines. Il habite dans les quartiers populaires de Paris, ce qui ne l’empêche pas de payer 1 000€ de loyer par mois. Il mange des burgers au bœuf de Kobe. Il s’habille chez BGWH, Qhuit, APC, avec des fringues qui semblent avoir été soigneusement chinées chez Guerrisol…
En outre, il a généralement fait ses études à Rennes/Nantes/Rouen et vit à Paris depuis qu’il travaille dans la musique, le graphisme, la photo, le web. Il vit donc dans l’une des villes les plus polluées d’Europe mais rêve de se casser dans une cabane en Islande. Mais bon, il retourne régulièrement voir ses parents en Bretagne, après être allé aux Transmusicales ou à la Route du rock.
J’ai beaucoup de sympathie pour les hipsters, leur « snobisme », leur désir de culture d’initiés. Ils ont une tournure d’esprit volontairement élitiste, mais veulent en même temps rester au plus près des choses « vraies ». Ce ne sont pas la chemise à carreaux et le bonnet Vans qui font le hipster, mais ce sont toutes ces contradictions qui le caractérisent, dans son besoin de consommation alternative. »
Je n’avais qu’un livre, il pouvait donc n’y avoir qu’un gagnant, mais d’autres commentaires m’ont fait sourire. Je comprends par exemple Poline, qui trouve le hipster si looké qu’il en est effrayant: « Ca n’a l’air de rien, mais un hipster à la maison, ça doit prendre du temps dans la salle de bain (…). Au vu de tout cet attirail externe, j’ai peur de parler au hipster. J’ai l’impression que c’est trop « high level », alors je me contente de regarder. » Souad a également bien étudié son allure: « Il se donne du mal pour son look. Au début je croyais qu’il était fauché, mais c’est juste un genre parce-que souvent ses fringues elles coûtent un bras. »
Céline est plus lapidaire: « Le hipster, c’est quelqu’un qui croit savoir, alors qu’il connait juste quelqu’un qui connait quelqu’un qui sait. » Son arrogance est d’ailleurs pointée du doigt par plusieurs d’entre vous. Selon Laetitia, « il veut qu’au premier coup d’oeil on remarque qu’il est adoubé par les siens ». Souad a remarqué « qu’il se casse vraiment la tête à dénicher de l’underground trop underground et quelques semaines plus tard, le commun des mortels se l’approprie sans gêne. Non mais! La plèbe c’est trop la plaie! »
Piapiapau reproche aux hipsters parisiens « leur tentative permanente d’être cool, d’être branché, d’être avant-garde. Ces essais ne font que lui donner un aspect trop étudié, trop arrogant, travaillé. Alors que quels que soient les codes dont on se sent les plus proches, la mode est un jeu, et rejoindre une communauté ne devrait pas se faire par l’effort mais juste parce qu’on s’y sent à l’aise et que l’on partage les mêmes idées, sans se forcer. » Carock22 a surtout compris qu’il s’agit d’ »une forme avancée du bobo: plus jeune, moins riche, entrepreneur, fan du DIY pour customiser ses biens et ainsi se distinguer, un peu écolo. »
Les hipsters américains séduisent plus Marie B, qui admire leur optimisme et leur « obligation d’avoir l’esprit ouvert pour être open à toutes les nouvelles tendances. » Bienveillante, Fannybens analyse: « Perçu comme un poseur, il va souvent plus loin que ce que l’on croit. »
pour le découvrir en image : avec les dessins de Jean-Philippe Delhomme, et son site
et je vous passe une page de coloriage, voir le post ci-dessous.
dimanche 24 février 2013
les cahiers de coloriage à gogo
Suite un article dans me monde de ce we, bien envie de collecter tous ces cahiers
en image :
en image :
chez P'tit Glenat, Jean-Charles de Castelbajac
Un site anglais I love Mel et ses cahiers "Colour Me good"
Ici, Bill Murray est le sujet principal du cahier chez Belly Kids
un extrait de l'article :
(...) Des clins d'oeil qui servent d'alibis pour renouer avec les crayons de couleur. "Vous seriez surpris de voir le nombre d'adultes en train de colorier avec leurs enfants", témoigne Catherine di Sciullo, la directrice du centre de ressources du Musée de la Gaîté Lyrique, un espace en accès libre pensé en premier lieu pour les enfants. "Il est rare de trouver une activité qui réussisse à nous absorber complètement, remarque l'auteur Nina Chakrabarti. Le coloriage nous relie à l'enfant que nous avons été et nous permet aussi de faire une pause méditative."
D'autant qu'on n'a jamais eu le cerveau aussi connecté au moyen des smartphones et des tablettes. « Ces loisirs créatifs ont du succès car ils répondent au besoin de remettre du réel dans une société où les échanges sont de plus en plus virtuels, ajoute Alexandra Jubé. Le
coloriage ne demande aucune compétence particulière, contrairement à la
cuisine, la couture ou le tricot. Pourtant, il parvient à occuper l'esprit au même titre qu'un puzzle." Un vide indispensable pour remettre à zéro un cerveau trop sollicité.
Lili Barbery-Coulon, M le magazine du Monde
|
rubriques :
cahiers de coloriages,
dessins,
graphisme,
people,
régressif
jeudi 21 février 2013
Jean-Louid Étienne sur france inter maintenant
http://www.franceinter.fr/personne-jean-louis-etienne-0
Mon explorateur préféré repart en expédition polaire en antarticque.
Il est entrain de raconter son attirance pour le monde polaire.
Bon, aussi, il se fait chambrer par les animateurs ; mais c'est un narrateur, il sait captiver son audition.
Il raconte à quel point qu'il sait faire des expéditions "balèzes"
et maintenant, c'est Polar Pod dans le polaire sud.
et maintenant, c'est Polar Pod dans le polaire sud.
Il part faire un inventaire des animaux par leur acoustique.
Super, il part en décembre 2014.
Jean-Louis Etienne veut se laisser dériver autour de l'Antarctique à
bord d'une curieuse bouée-laboratoire pour étudier les 50es hurlants. Le
vaisseau pourrait sortir d'un roman de Jules Verne. Que l'on imagine
une bouée-laboratoire, haute de 125 mètres, capable de dériver durant
des mois à la même latitude que le cap Horn, en se jouant, pour le
confort de ses sept passagers, des fortes houles et des tempêtes. Et on
aura une idée du futur « Polar Pod », le curieux engin nautique sur
lequel Jean-Louis Etienne embarquera pour sa prochaine expédition.
Celle-ci va se dérouler durant plus d'une année dans l'océan Austral. (extrait artcile Le Monde 26 janvier 2013)
rubriques :
expedition,
france inter,
jean-louis etienne,
radio france
ce week end, un free market dans le 18e
Paris 18e
Le Free Market de Paname le samedi 23 et le dimanche 24 février 2013
De 10h à 22h
Le Garage - 35 Boulevard Ornano
Métro Simplon (ligne 4)
3€ l’entrée
et il y aura aussi
Le Free Market de Paname le samedi 23 et le dimanche 24 février 2013
De 10h à 22h
Le Garage - 35 Boulevard Ornano
Métro Simplon (ligne 4)
3€ l’entrée
Pour cette première édition de 2013, nous faisons peau neuve
et investissons le Garage avec plus de shows, plus de créations, plus de
couleurs... Préparez-vous à en prendre plein les
mirettes !
et il y aura aussi
Les Filles de Joie à 16.00 le 24 fev
mercredi 20 février 2013
mercredi 13 février 2013
Ça se passe en bas de chez moi
Black Minou - Boogie With You par BlackMinou-Official
BLACK MINOU
Yarol Poupaud : Vocals - Guitar
Melvil Poupaud : Bass
Thibault Lecocq : Drums
Aurélien Turban : Guitar
rubriques :
black minous,
le 18e,
les frères poupaud,
Paname,
Paris
jeudi 7 février 2013
Ukulélé party
l'original (1984)
Talking Heads - Psycho Killer 1984
les paroles
I can't seem to face up to the facts
I'm tense and nervous and I
Can't relax
I can't sleep 'cause my bed's on fire
Don't touch me I'm a real live wire
Psycho Killer
Qu'est-ce que c'est
fa fa fa fa fa fa fa fa fa far better
Run run run run run run run away
Psycho Killer
Qu'est-ce que c'est
fa fa fa fa fa fa fa fa fa far better
Run run run run run run run away
You start a conversation you can't even finish it.
You're talkin' a lot, but you're not sayin' anything.
When I have nothing to say, my lips are sealed.
Say something once, why say it again?
Psycho Killer,
Qu'est-ce que c'est
fa fa fa fa fa fa fa fa fa far better
Run run run run run run run away
Psycho Killer
Qu'est-ce que c'est
fa fa fa fa fa fa fa fa fa far better
Run run run run run run run away
Ce que j'ai fais, ce soir la
Ce qu'elle a dit, ce soir la
Realisant mon espoir
Je me lance, vers la gloire ... OK
We are vain and we are blind
I hate people when they're not polite
Psycho Killer,
Qu'est-ce que c'est
fa fa fa fa fa fa fa fa fa far better
Run run run run run run run away
Psycho Killer,
Qu'est-ce que c'est
fa fa fa fa fa fa fa fa fa far better
Run run run run run run run away
oh oh oh oh oh oh oh oh....
rubriques :
grand orchestre à londres,
psycho killer,
talking heads,
ukulélé
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