le texte intégrale en chinois, évidemment on n'y pige quequick. Donc on part chercher
un traducteur chez Google et voici la traduction en français.
Je ne sais plus quand j'ai fait cette rencontre mais je me souviens d'avoir conseillé ce
graphiste chinois en visite à Paris d'aller chez Colette - l'espace indispensable de l'hyper branchitude parisienne -. Sympa cette petite note à mon sujet dans son blog !
cliquer sur l'image pour lire la traduction faite par l'ordi... on comprend bien la teneur du texte.